Ce que je ne fais pas

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Par rapport à l’état d’hypnose

Ce que je ne fais pas par rapport à l’état d’hypnose :

 

• Vous endormir. L’état d’hypnose est un état naturel que nous traversons tous plusieurs fois au cours de la journée. C’est quand votre esprit est ailleurs, que vous êtes dans un état de rêverie. Dans cette disposition, votre esprit est plus créatif, plus réceptif aux nouveaux apprentissages qui se font de manière naturelle. Des prises de conscience se réalisent plus facilement ainsi que la mise en place de solutions. C’est un état actif où vous êtes en éveil, où vous entendez toujours les voix, les bruits qui vous entourent et durant lequel vous pouvez parler si vous en ressentez le besoin.
• Vous demander de faire la poule ou vous faire chanter comme Adèle (même si elle a arrêté de fumer grâce à l’hypnose ). Bref, je ne fais pas de l’hypnose de spectacle.
• Lire dans vos pensées. C’est vous, et plus précisément votre inconscient qui détenez la solution à vos problèmes. Mon rôle consiste à vous faire poser les questions que vous ne vous étiez jamais posées avant et à vous accompagner, via l’hypnose, à trouver votre/vos solution(s).

Par rapport à mon accompagnement

Ce que je ne fais pas par rapport à mon accompagnement :

 

• Faire disparaître tous vos problèmes et vous changer radicalement d’un seul coup. Je ne suis pas un apprenti sorcier utilisant des grimoires et des potions magiques. L’hypnose est une thérapie brève mais pas instantanée. La séance unique peut exister, néanmoins, quand l’objectif est atteint dès la première séance, j’en préconise une seconde pour consolider les acquis et permettre une autonomie, notamment avec l’apprentissage de l’auto-hypnose. Comptez entre 2 et 10 séances en fonction de la problématique à traiter, avec une moyenne de 3 séances.
• De la psychothérapie, de la médecine. L’hypnose ne se substitue pas à un avis médical. Même si vous ressentez un changement, vous ne devez pas arrêter un traitement sans avis de votre médecin.
• Du coaching. Je n’ai pas besoin de tout savoir, de tout comprendre donc s’il y a des choses trop personnelles que vous ne souhaitez pas aborder en séance, vous pouvez les garder pour vous. Je travaille sur l’être et pas sur l’avoir et le faire.
• Vous empêcher de changer pour que vous fassiez un maximum de séances. L’objectif est que vous soyez autonome, que vous appreniez à changer par vous-même et que vous trouviez votre propre solution.
• Mettre un pansement sur votre symptôme. Les personnes en surpoids savent très bien comment maigrir : fermer la bouche dès qu’elles ont faim et ne manger que des brocolis à la vapeur. Celles qui ont une phobie savent que c’est irrationnel (Kylie Minogue a la phobie des cintres !) Dans ces deux cas, l’addiction ou la phobie est “plus forte qu’elles”. Je m’intéresse à l’émotion qu’il y a derrière les symptômes, aux raisons pour lesquelles ces comportements ont pris du sens. La disparition ou l’atténuation du symptôme est dans la majorité des cas la conséquence du travail émotionnel qui faisait que le problème avait une raison d’être.
• La pause d’un anneau gastrique virtuel. Cette pratique n’est pas en accord avec mes valeurs, je prends le parti de travailler sur ce qui déclenche le comportement plutôt que de poser un pansement sur un symptôme.

Pour plus d’informations sur le déroulement des séances : cliquez ici.
 

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